Les états d'âme de Bernard...

Publié le 30 Août 2010

 

 

 

 

 

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  Encore une fois, le vieil adage de Mr Chevènement devrait s'appliquer à Bernard Couchener, puisqu'ancien compagnon socialiste. Effectivement, lorsqu'on est ministre, en désaccord...On se la ferme ou on s'en va !!! 

Franchement, nous assistons à des scènes assez pathétiques de personnes que l'on s'imaginait excusez moi du peu "au-dessus du lot "...Et oui, mais où s'est perdu le "French Doctor" ?

La réponse, c'est dans l'opportunisme du carriérisme politique, tout simplement. Dans ces conditions, ce personnage est prêt à tout pour trahir ses idéaux...

 

Alors, assez d'états d'âme car personne n'est dupe...

 

Jean Claude Lejeune

 

* Ci-joint un article du Point qui met en évidence que Mr Couchener n'est plus à une contradiction ...

 

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30.08.2010, 07h48 | Mise à jour : 08h54

Bernard Kouchner ne part pas... mais y a songé. Ce lundi, le ministre des Affaires étrangères a reconnu qu'il avait songé à démissionner après la mise en place de la politique de Nicolas Sarkozy à l'égard des Roms. «Oui, j'y ai pensé», a-t-il avoué sur RTL. Tout en précisant que «non» il n'était pas candidat au départ.

«Je n'ai ni migraine, ni céphalée et je ne suis pas spécialement déprimé», a encore précisé le French doctor. Très remonté contre les experts de l'ONU qui ont sévérement taclé en fin de semaine dernière la politique française à l'égard des Roms, Bernard Kouchner a assuré que la France n'avait «pas à rougir». «Ce n'est pas parfait. Je ne suis pas content de cette polémique, de cette espèce de mayonnaise verbale. Mais cette politique, elle est nécessaire. Il est nécessaire de faire respecter la loi. C'est comme ça, ça ne m'amuse pas non plus. Ca me fend le coeur de voir, pas seulement les Roms, mais les Roms en particulier, être exploités [...] Des enfants drogués pour paraître malade», a encore poursuivi le ministre des Affaires étrangères. 

«S'en aller, c'est déserter»

«Comment faire pour y remédier, en démissionnant ?», lui demande-t-on alors. «J'y ai pensé. Oui Monsieur », répond alors le ministre sans s'attarder.

«C'est la première fois que vous confessez avoir songé à démissionner. Qu'est qui vous a retenu de le faire ? ».  Réponse de l'intéressé : «L'efficacité. Biensûr j'en ai parlé avec Nicolas Sarkozy. S'en aller, c'est déserter. Je vais bien, ne lisez pas les journaux. Ca fait trois ans et demi qu'on dit que je pars tous les jours. »

 

 

«S'en aller, c'est déserter» ...Bernard, tu as cependant deserté depuis longtemps, non ? 

Rédigé par JCL

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