Tout ne serait que mensonges et illusions ?

 

   Pauvre Eric, il aura vraiment été le fusible de notre gouvernement. De cette manière, tout le monde est ainsi à l’abri...Sauf qu'il y a anguille sous roche, autrement, pourquoi serait-il soudainement conduit à dénigrer les personnes qui l'on soutenu, le temps de l'épreuve de la réforme des retraites...

 

    Eric Woerth est tout simplement considéré comme un mouchoir "kleenex" dans lequel le parti présidentiel s'est bien mouché de ses mensonges...

    Et l'on veut nous faire croire à la transparence et l'honnête de cette équipe de menteurs qui n'a d'intérêt que d'agir sur un clientélisme convenu.

        Il fut un temps où il y eu "Mandrake" le magicien, aujourd'hui c'est une équipe d'illusionnistes qui nous assène de fausses informations  en s'imaginant que les citoyens seraient assez naïfs pour avaler n'importe quoi...Il s'agit bien dans cette affaire  d'avoir gagné du temps afin de s'imaginer qu'un "bouc émissaire" suffirait à occuper le terrain médiatique...

 

Il n'empêche que de brader à ce point le foncier de notre état dans l'unique but de s'arranger avec son électorat, cela entache gravement ce parti politique qui ose se dire "populaire"...

L'hippodrrome et le golf de Compiègne n'étant hélas que les 2 abrisseaux qui cachent la fôrêt du mensonge et de la manipulation...

Ci-joint, l'article du point qui fait état d'une façon édifiante aux  propos que je tiens aujourd'hui, suite à un entretien de Mr WOERTH au journal "Le Figaro"...

  Jean Claude Lejeune

HIPPODROME DE COMPIÈGNE - Éric Woerth organise sa riposte

L'ancien ministre du Travail affirme que la cession du terrain a été décidée par Matignon.

Selon Eric Woerth, la cession de l'hippodrome de Compiègne a été décidée à Matignon © Florence Durand / Sipa

Le Point.fr

L'ancien ministre du Travail Éric Woerth se défend dans le dossier de la vente de l'hippodrome de Compiègne et affirme mercredi, dans une interview accordée au quotidien Le Figaro, que la décision a été prise par Matignon. Le procureur général de la Cour de cassation a annoncé en novembre qu'il demanderait à la Cour de justice de la République (CJR) une enquête pour "favoritisme et prise illégale d'intérêts".

Alors que la CJR doit se prononcer prochainement sur ce dossier, Éric Woerth assure que la cession de ce terrain d'une soixantaine d'hectares appartenant à l'État, conclue en mars 2010, a été décidée à Matignon. "Le 12 mars 2010, c'est Matignon qui a tranché lors d'une réunion interministérielle informelle", déclare-t-il. "Y assistaient les représentants de Bercy et de l'Agriculture. Le cabinet du Premier ministre a arbitré dans le sens de France Domaine." "Ce dossier m'a occupé six minutes, peut-être sept", précise Éric Woerth, qui était alors ministre du Budget.

L'ancien ministre, soupçonné d'avoir bradé ce terrain à des connaissances, ajoute que la vente pour 2,5 millions d'euros de cette parcelle incluant un hippodrome et le golf de Compiègne "s'inscrit pleinement" dans le cadre de la politique immobilière de l'État qui, dit-il, "n'a pas à être propriétaire d'un hippodrome". Défendant la procédure de vente de gré à gré, sans mise en concurrence, Éric Woerth poursuit en affirmant que "si c'était à refaire, [il] agirai[t] exactement de la même façon".